Tel est le propos de l’Ombudsman Aloysia Cyanzayire , le 23 janvier 2013 à Kigali, lors de l’analyse du rapport d’activités 2015-2016, dans sa présentation à la Commission parlementaire des Affaires Sociales et Droits de l’homme.
Au cours de cet entretien, l’Ombudsman Aloysia Cyanzayire dit que le chiffre des rwandais qui dénoncent la corruption a diminué par rapport à l’année passée, et exhorte la population de ne pas avoir peur de fournir les informations parce que l’institution qu’elle dirige leur garde secret.
Honorable Narcisse Musabeyezu, membre de la commission demande l’office de l’Ombousman les stratégies envisagées de lutter contre la corruption basée sur le sex. Et de dire ’’La population interrogée dit que la corruption basée sur le sex existe dans quelques institutions d’emploi. Cette corruption fait que nous n’avons pas du personnel qualifié et capable, qui fait que le rendement est négatif.’’
L’Ombousman Cyanzayire de clarifier aux Sénateurs que l’handicape rencontré dans la poursuite de la corruption basée sur le sex résulte de la mauvaise volonté des victimes du crime qui ne veulent pas donner les informations pour que le crime soit puni.
Et de dire ’’L’Office de l’Ombudsman a mit en place un agent privé chargé de recevoir les doléances des personnes victimes de la corruption basée sur le sex, mais malheureusement jusqu’à présent personne ne s’ait jamais présentée.’’
Et de dire encore que les stratégies à prendre est toujours de sensibiliser la population pour fournir les informations sur les violations basées sur le sex constatées.
Quelques-uns de la population qui donnent les informations sur les violations demandent de ne pas faire parti de la partie a à a charge devant les tribunaux, ceci est un autre handicape, selon l’Ombudsman.
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Abdou Nyampeta/Bwiza.com
